Mot de tendresse pour maman Lisette... ma "Mamily"

Au revoir belle maman chérie!

On se reverra plus tard... un de ces jours.

Je t'aime.

Ta fille Anne XXXX...

Par cette belle journée ensoleillée, ton âme s’est élevée là-haut afin d’accomplir une nouvelle mission, celle de veiller sur chacun de nous. Nous garderons pour toujours de merveilleux souvenirs de toi. Tu nous manqueras Lisette, chère  maman, chère grand-maman.

Comments

[L. DelaGrave]

Courriel du 19 avril 2010:

Chère Anne,

Pour la triste nouvelle que tu viens de m'apprendre, sache que je connais bien cette souffrance et que je peux imaginer l'ampleur de ta peine... c'est comme la fin du monde, rien de moins. Les menus détails de la vie quotidienne nous deviennent insupportables, on accepte mal que la vie continue comme avant pour notre entourage, alors que pour nous, elle semble s'être arrêtée.

Mais, tu sais, le temps finit par aplanir un peu la souffrance et le soleil finit par luire à nouveau. C'est long, mais ça finit par venir! Et puis, tu n'es pas seule!

À bientôt!

L. DelaGrave

[Béa]

Courriel du 15 avril 2010:

Ma chère Anne,

Je ne découvre ce triste mail que maintenant… Rentrée depuis deux jours à C..., je me mets à jour dans mon courrier…

Que je suis triste pour toi. Je sais très bien ce que tu dois éprouver en ce moment, cette horrible sensation de vide, de plus jamais, de regret aussi, d’ immense trou noir…

J’ai perdu ma maman de cette maladie du siècle, elle venait d’avoir 68 ans et a combattu plus de deux ans…

Sans doute faut-il nous dire qu’elles sont mieux à présent, sans souffrance, sans peine…

Mais c’est très dur à accepter car nous restons leurs petites filles et une maman ne se remplace jamais.

J’ai les larmes aux yeux en t’écrivant, je revis ces souvenirs malheureux d’il y a déjà plus de 6 ans…

Tout ce que je peux te dire, ma chère Anne, c’est que le temps apaise la douleur que tu éprouves maintenant… même si il ne la tarit pas…

Je suis de tout coeur avec toi…

Et je t’embrasse bien affectueusement,

Béa

[Anne-Hélène]

Courriel du 7 avril 2010:

Bonjour Anne,

Je suis désolée d'apprendre la triste nouvelle du décès de ta mère. J'aurais voulu être auprès de toi...C'est étrange, car je suis allée marcher dans ta rue il y a environ une semaine...sans savoir. Peut-être qu'inconsciemment, j'ai senti que tu avais besoin de réconfort ou d'une présence. Il ne semblait y avoir personne à la maison alors je n'ai pas sonné.

(...)

D'ici là, sache que je pense à toi et que tu peux verser toutes les larmes nécessaires...je suis passée par là et je t'offre mon amitié en soutien, même à distance.

N'hésite pas à m'appeler.

Amicalement,

A-H Dussault

[Y.]

Courriel du 7 avril 2010:

À mesure que l’on vieillit, il semble bien que l’on meurt de plus en plus jeune. Accepte ma sympathie bien sincère.

Je constate que ton entourage et ton conjoint Jean-Paul t’entourent de leur affection. Tes enfants sont déjà en âge de réconforter leur maman.

Je te souhaite, pour reprendre ton terme, de la sérénité en avançant dans la vie. Tu resteras une femme forte!

Yolande

[C. Corriveau]

Courriel du 8 avril 2010:

Bonjour Anne,

Je suis tout à fait désolée d'apprendre une si triste nouvelle. Je me souviens de tes paroles très affectueuses à l'égard de tes parents et de la belle jeunesse que tu as eu le plaisir de vivre en leur agréable compagnie.

Puisse la douleur ne pas être à la mesure de ton affection; ta mère, dans sa grande bonté, n'aurait certainement pas voulu cela! Le temps accomplira son oeuvre de transformation et ton rapport au monde en sera, sans doute, modifié. Cette étape de transition sera, en fait, une voie vers toi.

J'ai bien hâte de te revoir, mais j'attendrai que tu sois prête. Prends le temps qu'il te faut...

Carole Corriveau